mardi 25 mars 2014

25 mars - DES HOLOGRAMMES UTILISÉS LE 11 SEPTEMBRE 2001 - JOHN LEAR 
Il s’apprêtent à nous faire la même chose pour le vol 370, ils sont en train de préparer de fausses preuves.
IMPORTANT. Voir l'article sur les passagers retrouvés du vol 370, ici : 
http://vol370.blogspot.fr/


INTERVIEW DE JOHN LEAR PAR KERRY CASSIDY - Mars 2008
Cette interview est ressortie pour des raisons d’actualité.
En effet, un ex-pilote de la CIA, Ron Simens, a fait une déclaration écrite sous serment, datée du 28 janvier 2014, qui fait partie d’un procès intenté par Morgan Reynolds, ex-économiste en chef de l’Administration Bush, devant la Cour du District sud de New York.
Cette déclaration sous serment affirme qu’aucun avion ne s’est écrasé contre les tours jumelles du WTC.

Ce témoignage est la retranscription d’une interview filmée de John Lear par Kerry Cassidy. : http://www.youtube.com/watch?v=pj-HzHi3dF0

Avec Bill Ryan, collègue à l’époque de Kerry Cassidy

JOHN LEAR : … sur ATS, lorsque j’y suis allé la première fois, une des choses dont j’ai parlé c’est qu’il n’y avait pas d’avions le 11 septembre. Il n’y avait pas d’avion à Shanksville …

KERRY CASSIDY : C’est réellement de la dynamite.

JOHN LEAR : Il n’y avait pas d’avion au Pentagone, il n’y avait pas d’avions au Word Trade Center et je vais vous dire, lorsque j’ai commencé à parler d’holographes, les opposants essayaient de me tuer, il y avait quelque chose comme vingt gars,
« vous êtes fou, vous savez,  vous êtes en train de desservir le mouvement du 11 septembre,, vous savez, vous empêchez de découvrir la vérité, vous savez ? Vous parlez de cela et personne ne vous croit » Mais le fait est, c’était un holographe et c’était de l’imagerie de synthèse et …

KERRY CASSIDY : D’accord, pouvez-vous nous éclairer là-dessus ? Dites-nous pourquoi vous pensez que c’est la vérité. Vous êtes pilote, vous savez certainement si ces avions avaient la capacité de heurter ces bâtiments, parce que notre Henry Deacon nous a aussi raconté des choses intéressantes sur ces avions. En fait, il croit qu’ils étaient pilotés à distance. Je ne sais pas si CELA est vrai, mais au fond ces avions n’ont pas la capacité de se diriger vers ces bâtiments à ce niveau, je ne suis pas pilote et je ne comprends pas la logistique. Mais, comment êtes-vous arrivé à cette conclusion ?

JOHN LEAR : Les vols 11 et 77 n’existaient pas pour commencer. Le Bureau des Statistiques de Transport n’a aucune trace d’eux au décollage, pas trace, vous savez, alors oublions-les parce qu’ils n’existaient pas.

Donc nous ne parlons que du vol 175 et du vol 93. Le vol 93 s’est apparemment écrasé à Shanksville. Quiconque ayant une expérience quelconque des enquêtes d’accident ou pas d’expérience du tout, ne peut croire qu’un avion se soit écrasé là. Il n’y avait pas de débris. Cela ne pouvait pas avoir eu lieu.
En ce qui concerne le vol 175 s’écrasant dans la Tour sud, j’ai récemment passé un appel à un simulateur de vol de Pan American à Miami pour voir si je pouvais louer un (Boeing) 767-200, car ils en ont un. Et ce que je voudrais faire c’est de sélectionner six candidats, six candidats pilotes. Un habitué et qualifié sur le 767-200 ; un peut-être qualifié mais pas habitué ; et puis un peut-être habitué aux jets à grande vitesse, mais pas au 767 ; et puis trois derniers, du même calibre que les présumés pirates de l’air, du genre qui a quelques heures de vol sur un Apache, qui a une licence de vol privée, ou peut-être commerciale, quelque chose comme cela.

Et ce que je ferais dans le simulateur, je les emmènerais à New YorKerry Cassidy telle qu’elle est. Je veux dire les bâtiments sont là. Je les emmènerais là et les maintiendrais en position stationnaire à 32 kilomètres de distance, à une altitude de 2100 mètres, à une vitesse de 900 km/h, je les mettrais dans le siège du pilote et leur donnerais deux minutes pour se repérer, leur montrerais où se trouve le Word Trade Center, et leur dirais : « je vais vous abandonner là et lorsque je m’en irais, vous aurez une minute et cinquante secondes pour vous écraser en plein milieu. Maintenant, le World Trade Center mesure 66 mètres de large, et vous devrez le heurter au centre. Pas à gauche, ni à droite – au centre. » Et pour expliquer comment cela se passe, je pointerais une caméra sur le pilote et une autre vers ce qu’il regarde.
Et puis je dirais (il claque des doigts) « VAS-Y ». Et je dirais « Bon, maintenant montre-moi combien c’est facile ». Vous savez, à cause de tous les gars de l’ATS (Contrôle du trafic aérien, Ndt) « Oh, j’ai fait tout cela en simulateur de vol, pas de problème », vous savez. C’est impossible. Au sommet de ma carrière, aussi compétent que j’aie été sur tout type d’appareil, il n’y avait pas moyen pour moi de faire cela. Je veux dire, c’est juste trop compliqué.

Premièrement, l’avion ne peut pas voler plus vite que 900 km/h. Il ne peut voler à plus 580 km/h qui est la vitesse maximale opérationnelle. Peut-être pourrait-il voler, disons, cinquante à soixante kilomètres par heure plus vite que cela, mais à la VMO l’avertisseur se déclenche. L’avertisseur est un dispositif de sécurité requis par la FAA (Autorité Fédérale de l’Aviation, Ndt) qui émet un claquement SONORE : clac-clac-clac, clac-clac-clac. Et il émet ce claquement à un rythme et selon un cycle qui irrite le pilote, si bien qu’il ne peut pas l’ignorer. Il doit ralentir, vous savez. Maintenant, il n’est pas possible qu’un pirate de l’air, qui est pour la première fois dans l’avion, non seulement vole à 620, 640 km/h …et descende et s’écrase en plein centre. Pas possible. Non.

BILL RYAN : Nous avons un témoin crédible, qui dit que les avions n’avaient pas de pilote, mais qu’ils étaient pilotés à distance, comme des drones à des milliers de kilomètres de distance.
Je demande à John de faire un commentaire à ce sujet, de son point de vue, cela répond aussi à la question posée par le fait qu’aucun pilote humain n’aurait pu atteindre un objectif aussi petit.

JOHN LEAR : Aucun avion ne s’est écrasé dans le World Trade Center. Premièrement, contrôler à distance un appareil de cette taille ou de n’importe quelle taille est très difficile. Je ne crois pas que vous puissiez piloter à distance un appareil de la taille d’un 767-200 de toute façon, et particulièrement pour heurter en plein centre le World Trade Center. Mais le fait est qu’il n’y avait pas de débris d’un QUELCONQUE appareil dans le World Trade Center.

Et par « pas de débris » je veux dire qu’on n’a rien trouvé de quelque taille que ce soit dans le secteur. Maintenant, il y a un panneau de fuselage que vous apercevez avec cinq ombres de hublots, mais quand chaque avion, American Airlines dans la Tour nord et United Airlines dans la Tour sud, s’écrase, il y a deux cinquièmes de seconde où on les voit disparaître dans l’avion. Donc, en deux-cinquièmes de seconde, vous n’aurez pas un panneau de deux mètres de long qui va se détacher et atterrir dans un état presque intact, à moins qu’il ne soit accompagné du passeport de Mohammed Atta.
La seule autre pièce qui a été trouvée était le moteur sur Murray Street. Et le moteur sur Murray Street a été identifié soit comme CFM-56 – CFM pour Snecma – OU un CF-6, qui était un moteur de 767, développé à partir du CFM-56. Mais qu’il se soit agi d’un CF-6 ou d’un CFM-56, il devait avoir une base General Electric et malheureusement, ou heureusement, United Airlines n’utilise que du Pratt and Whitney. Donc ce moteur que vous voyez s’envoler et dont on vous affirme qu’il provient du vol 175, ne provient pas du 175, parce que les gars qui étaient chargés de déposer le moteur à cet endroit, vous savez, comme un débris fumant et carbonisé, ont déposé le mauvais moteur. Il y a un tas de choses que les auteurs ont fait qui sont suspectes ici. L’effondrement du bâtiment numéro sept est absolument ridicule.
Et la raison pour laquelle ils devaient le faire ainsi est parce que, je présume, le projecteur holographique qui a projeté le vol 175 et le vol 11, a mal fonctionné – parce que le vol 93 était celui qui devait s’écraser dans le bâtiment sept et lorsqu’ils qu’ils n’ont pas réussi à le faire, ils ont dû faire les choses rapidement. Ils pouvaient simuler un crash du vol 93 à Shanksville et je peux m’imaginer ces gars, toute la journée, se demandant « Qu’est-ce qu’on va faire ? »

Personne n’allait croire que ce truc allait juste s’effondrer, vous savez, à cause d’un petit incendie, et vers 5 heures, vous savez, ils se sont dit bon, on y va et on va le faire, peut-être que personne ne va s’en apercevoir. Donc ils ont fait s’effondrer le bâtiment de quarante-sept étages sur sa base, et se sont attendus à ce que tout le monde les croie – et bien sûr c’est ce qui s’est passé.

KERRY CASSIDY : D’accord, donc ils l’ont fait s’effondrer sur sa base … mais qu’ont-ils utilisé ?  Est-ce qu’ils n’ont pas d’armement scalaire ? Peuvent-ils juste le descendre ?

JOHN LEAR : Oui, nous en disposons mais dans ce cas particulier l’effondrement a été causé par une démolition contrôlée tout comme le World Trade Center.
Au World Trade Center, ce qu’ils ont fait avec la démolition contrôlée est la PREMIERE partie qui consistait en ce que nous appelons la découpe de Wile E. Coyote (le vil coyote du dessin animé des Bip-bip, Ndt) dans la figure, comme si un avion s’était écrasé dedans, ce qui est absolument, incroyablement ridicule – mais un tas de gens l’ont cru. Et l’autre chose est qu’ils avaient besoin d’une démolition contrôlée pour découper chaque poutre en tranches de 9 mètres, afin qu’elles tiennent dans les camions de Rudy Giuliani qui allaient les transporter hors de la ville.

Le World Trade Center a été effondré par une arme à faisceau d’énergie dirigée, à partir d’une des plateformes spatiales armées, et la raison pour laquelle nous le savons est la taille des poussières issues de la désintégration du béton. Elle était approximativement de 80 microns, et c’est ce que produit une arme à faisceau dirigé lorsqu’elle est pointée vers le bas. C’est ce qui est utilisé, on l’appelle « dissociation moléculaire ». Je veux dire, c’est juste une dissociation de la structure moléculaire du béton et c’est pourquoi il y avait toute cette poussière. Il ne restait rien.
Et c’est pourquoi le sous-sol du World Trade Center était en fusion pendant six semaines, parce que, quand il (le faisceau)atteint finalement le sol, il le chauffe à ce point. Vous pouvez déverser autant d’eau que vous voulez, cela ne va pas se refroidir pendant un bon moment. Donc, je crois que tout cela était contrôlé par le E-4B, l’appareil du Jugement dernier, le 747 qu’on a vu survoler la Maison Blanche.

Je pense qu’il y eu celui qui a fait la projection holographique, et ils ont aussi transmis les CGI (Computer Graphics Imagery – Imagerie numérique informatisée, Ndt), les images numériques réalisées par ordinateur, aux différentes chaînes de télévision, pour montrer les avions qui apparemment s’écrasaient. C’est pourquoi il y a eu cet incident avec un nez d’avion qui a dépassé de l’autre côté d’un des, d’un des bâtiments. Ce sont eux qui ont envoyé ces pseudos messages par téléphones portables, qui n’ont jamais existé. Ils ont fait tout un tas de choses. Ils ont probablement simulé des transpondeurs pour les appels des différents ATC (Contrôles du trafic aérien, Ndt).

KERRY CASSIDY : Donc vous dites que l’hologramme devait provenir d’un avion en vol ?

JOHN LEAR : Oui. Cela a été réalisé par un projecteur. Un projecteur holographique.

KERRY CASSIDY : D’accord, donc, la technologie existe bien. Avez-vous parlé à votre ami, qui a écrit le livre …

JOHN LEAR : Norm Bergrun.

KERRY CASSIDY : Norm, mais qui d’autre avez-vous entendu parler de cette technologie holographique ?

JOHN LEAR : Ron Blackburn … vous savez qui c’est ?

JOHN LEAR : Ron Blackburn a travaillé pour Lockheed pendant 30 ans. Il a participé au programme des avions furtifs, le projet de programme furtif à Groom Lake (Zone 51 au Nevada, Ndt) pendant 20 ans. C’était lui qui a pour la première fois entendu dire qu’il y avait des aliènes sur le site d’essais. Maintenant, quand je l’ai rencontré pour la première fois il y a 10, 15 ans, il a nié savoir quoi que ce soit, maintenant il est un peu plus relâché dans ce qu’il dit. Je veux dire qu’il affirmait qu’à Groom Lake il y avait un bâtiment administratif qui était réservé aux aliènes. Ron a participé à ma fête d’anniversaire ici.
Il est retraité maintenant, il est retraité. Il est très prudent dans ce qu’il dit.  Mais il est venu à ma fête d’anniversaire, et il nous a parlé des projections holographiques. Il dit qu’elles comportent le son, la lumière, la chaleur, tout. Je veux dire que tout est là. Une des personnes, un des problèmes que rencontrent les gens avec les projections holographiques … Eh bien, je l’ai vu, cela aurait été impossible. Vous savez, du genre, ils pensent aux projections holographiques comme à celles que vous voyez à Las Vegas ou à une fête d’anniversaire, vous savez.
Quand il y a une petite lumière dansante comme là-bas.

« Eh bien, je l’ai vu, cela aurait été impossible». Vous savez que c’est ridicule. Et puis ils disent « Bien, comment auraient-ils pu produire le son, ils auraient dû avoir des enceintes acoustiques du haut en bas, vous savez, de la rue. » C’est malheureux que les gens ne comprennent pas à quel point nous avons évolué dans notre technologie. Ils ont été dupés, c’était une tromperie. C’était une opération psychologique.

KERRY CASSIDY : D’accord, alors qui l’a menée ?

JOHN LEAR : A la base, je les appelle les « Vilains nazis de la NASA », au centre du complexe militaro-industriel. Hoagland dit exactement qui ils sont et comment ils ont pris le pouvoir, et ce sont ceux qui ont mené l’opération. Maintenant, le 31 mars 2007, l’année dernière, un gars nommé Morgan Reynolds a déposé une plainte appelée la Plainte Qui Tam, contre ces 22 sociétés. Et nous parlons ici d’entreprises de premier plan. Science Applications, International Corporation, Applied Research, Hugues – toutes ces sociétés-là sont mises en accusation, et elles sont accusées d’avoir accepté de l’argent pour fournir des informations frauduleuses à une agence gouvernementale. 
L’agence gouvernementale à qui ils ont fourni cette information frauduleuse est le NIST – l’Institut National des Normes Technologiques. Le NIST a été chargé par le Président Bush de déterminer exactement pourquoi le World Trade Center s’est effondré. Ce qui a réellement causé son effondrement. Et ils ont avancé la raison que, vous savez, le carburant des avions et c’était tellement ridicule que Morgan a déposé cette plainte qui fait QUARANTE PAGES et qui souligne tout ce qui s’est mal passé. Et c’est ainsi que la plainte a abouti au tribunal aujourd’hui.

KERRY CASSIDY : Et vous avez témoigné sur les avions holographiques comme partie de la plainte, exact ?

JOHN LEAR : Eh bien ce que j’ai fait, c’est que j’ai fait une déclaration écrite sous serment le 28 janvier 2008, cette année, en soutien de la Plainte et en opposition à la Demande de Rejet. Et au fond, ce dont j’ai témoigné est :
-          pourquoi les avions ne pouvaient avoir volé aussi vite qu’ils l’avaient fait
-          POURQUOI ils n’auraient pu voler aussi précisément qu’ils l’avaient fait,
-          Pourquoi il n’y avait pas de débris.

KERRY CASSIDY : Il est étonnant que d’autres pilotes ne se soient pas manifestés

JOHN LEAR : Eh bien, d’autres pilotes sont des employés ; ils ne peuvent pas se permettre de se manifester.

KERRY CASSIDY : Mais c’est de notre PAYS dont nous parlons …

JOHN LEAR : Ils ne peuvent le faire. Une bonne partie de mes informations émanent de Aerodynamics for Naval Aviators (Aérodynamique pour Pilotes de la Marine, Ndt)(il montre le manuel) et j’explique POURQUOI un avion de ligne ne peut pas voler à 800 km/h à 300 mètres d’altitude. Cela a à voir avec la traînée, avec la puissance, et le fait qu’ils utilisent des réacteurs à double flux. C’est juste impossible. Donc peu importe que le gouvernement ou le NIST affirment qu’ils volaient à 800 km/h – ce n’était pas le cas. C’était impossible.

Donc au fond, c’est ce que j’ai expliqué dans ma plainte. Maintenant, vous vous demandez pourquoi beaucoup de pilotes ne se sont pas manifestés ? Beaucoup l’ont fait, il existe une organisation appelée www.PilotsForTruth.com (Pilotes pour la Vérité) dont je suis membre, un des premiers membres, et il y a un tas de gens qui savent que cela n’aurait pas pu se produire. Il n’y avait aucun avion qui ressemble à un Boeing 757 qui se soit écrasé dans le Pentagone. Non, cela n’est pas arrivé.

KERRY CASSIDY : Alors qu’est-ce qui s’est passé au Pentagone ?

JOHN LEAR : Au Pentagone, ils ont fait exploser une bombe pour faire ce trou et ils ont utilisé un baril de 200 litres de carburant qu’un gars a allumé pour créer toute cette fumée noire là-bas.

KERRY CASSIDY : Je pense que l’histoire d’April Gallup est fascinante à ce sujet.

JOHN LEAR : April Gallup était une spécialiste de l’armée, et j’ai oublié quelle était sa fonction, mais elle avait un certificat de sécurité Top Secret. Elle était assise à environ 12 mètres de l’endroit où l’explosion a créé un trou béant dans la façade du Pentagone et elle avait son fils de six mois sous son bureau et elle pensait que c’était bizarre parce que, habituellement, lorsqu’elle se rendait au travail, avant de passer le contrôle de sécurité, elle devait déposer les petits enfants dans une crèche, mais ce jour-là, la sécurité lui dit : « Non, prenez l’enfant avec vous ».

Donc il était avec elle – elle avait l’enfant juste sous elle dans un petit couffin, et elle dit que c’était vraiment étrange parce que lorsqu’elle a pressé le bouton « ON » de son ordinateur, c’est alors que le bâtiment a explosé, et elle dit qu’un tas de débris lui sont tombés dessus et elle a vu le trou là-bas et elle a pensé : « Je dois sortir d’ici ». Alors elle a pris l’enfant sur son dos, s’est dirigée vers l’ouverture, est passée à travers pour se retrouver sur la pelouse où, finalement on a établi le centre de tri.

Mais elle a dit qu’elle n’avait vu ni missile, ni avion, qu’elle n’avait pas senti d’odeur de carburant. Il n’y avait pas d’avion là-dedans. Et plus tard à l’hôpital elle a été interrogée par les Renseignements de l’Armée et ils lui ont demandé ce qu’elle avait vu, et elle a commencé par dire « Je n’ai rien vu » et ils lui ont dit « Non, bien sûr que vous avez vu quelque chose. Vous avez vu un Boeing 757 s’écraser à l’intérieur ». Elle dit « Non, non, non, ce n’est pas vrai. Il n’y avait rien là. » Et elle a traversé l’enfer pendant les quatre ou cinq dernières années pour obtenir des soins médicaux.

Cela a été une bien triste histoire. Mais, une des choses que je voulais montrer est une page d’un manuel militaire traitant d’un truc dont ils aimeraient disposer en l’an 2025. Cela s’appelle un projecteur holographique aérien, vous pouvez voir où je l’ai eu. Vous ne pouvez plus l’avoir ici, c’était sur www.au.af.mil  et j’ai récupéré environ 250 pages de documentation …

KERRY CASSIDY : Cela parle d’une machine à hologrammes.

BILL RYAN : Cela se réfère à la gestion de la perception de l’ennemi, n’est-ce pas ? C’est un si merveilleux euphémisme.

JOHN LEAR : « Le projecteur holographique projette une image visuelle tridimensionnelle vers un endroit ciblé, distant d’un générateur d’image. Le projecteur peut être utilisé pour des opérations psychologiques et la gestion de la perception stratégique. Il peut également servir pour des illusions d’optique, et le camouflage, en fournissant une diversion momentanée dans un engagement avec un adversaire peu évolué. Et il dispose de capacités de projection précise d’images visuelles tridimensionnelles dans une zone sélectionnée. Il vient en soutien d’opérations psychologiques et de gestion de manipulation stratégique et sert à la manipulation et la dissimulation dirigée contre des centres optiques. »

KERRY CASSIDY : D’accord, et quand cela a-t-il été écrit, vous le savez ?

JOHN LEAR : Je pense que c’est en ’99. Je n’en suis pas sûr. Je vous donnerai l’adresse où vous pouvez vous le procurer MAINTENANT.
 Mais je pense que c’est à la base aérienne de Maxwell.

KERRY CASSIDY : Il faut croire que si c’est accessible au public, c’est juste la pointe de l’iceberg en ce qui concerne la technologie.

JOHN LEAR : Si, et si vous creusez cette matière, ils disposent de ce qu’ils appellent le système de laser à haute énergie hybride (HELWEPA … High-Energy Laser Weapon Systems Applications). Mais si vous fouillez la question et regardez ce système de près, cela vous montre comment ils pourraient attaquer juste entre l’Iran et l’Afghanistan. C’est hilarant, vous savez c’est là qu’ils veulent attaquer et c’est là où ils savaient qu’ils allaient attaquer, vous savez, en 1999. Et cela, cela a été publié à cette époque, alors vous pouvez voir combien ils planifient leurs trucs à l’avance. Je veux dire qu’ils font des plans trente ans à l’avance.

KERRY CASSIDY : Bon, lorsque vous dites qu’ils vont attaquer entre l’Iran et …

JOHN LEAR : En Afghanistan. C’est là où passera l’oléoduc, ils veulent cette région.

KERRY CASSIDY : Bon, d’accord, donc c’est pour cela que nous allons entrer en guerre contre l’Iran, c’est ce que vous dites. Oui, mas i l’Iran à la technologie Keshe.

JOHN LEAR : Ouais, nous voulons nettoyer cette région pour y faire passer l’oléoduc.

KERRY CASSIDY : Il semble que vous nous dites qu’ils vont utiliser une arme d’un type particulier pour attaquer à cet endroit.

JOHN LEAR : Eh bien, ils pourraient utiliser ce laser à haute énergie hybride, vous savez, ils ont beaucoup d’armes qu’ils pourraient utiliser. 

3 commentaires:

  1. Le site de Pilots For Truth est les suivant: http://pilotsfor911truth.org

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  2. j'adore m'ouvrir l'esprit et ne pas croire les mensonges qui veulent ne faire manger par les infos

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