25 mars - DES HOLOGRAMMES UTILISÉS LE 11 SEPTEMBRE 2001 - JOHN LEAR
Il s’apprêtent à nous faire la même chose pour le vol 370, ils sont en train de préparer de fausses preuves.
IMPORTANT. Voir l'article sur les passagers retrouvés du vol 370, ici :
http://vol370.blogspot.fr/
INTERVIEW DE JOHN LEAR PAR KERRY CASSIDY - Mars 2008
Cette interview est ressortie pour
des raisons d’actualité.
En effet, un ex-pilote de la CIA,
Ron Simens, a fait une déclaration écrite sous serment, datée du 28 janvier
2014, qui fait partie d’un procès intenté par Morgan Reynolds, ex-économiste en
chef de l’Administration Bush, devant la Cour du District sud de New York.
Cette déclaration sous serment
affirme qu’aucun avion ne s’est écrasé contre les tours jumelles du WTC.
Avec Bill Ryan, collègue à l’époque de Kerry Cassidy
JOHN LEAR : … sur ATS,
lorsque j’y suis allé la première fois, une
des choses dont j’ai parlé c’est qu’il n’y avait pas d’avions le 11 septembre.
Il n’y avait pas d’avion à Shanksville …
KERRY CASSIDY : C’est
réellement de la dynamite.
JOHN LEAR : Il n’y
avait pas d’avion au Pentagone, il n’y avait pas d’avions au Word Trade Center
et je vais vous dire, lorsque j’ai commencé à parler d’holographes, les opposants essayaient de me tuer, il y
avait quelque chose comme vingt gars,
« vous êtes fou, vous savez, vous êtes en train de desservir le mouvement
du 11 septembre,, vous savez, vous empêchez de découvrir la vérité, vous savez ?
Vous parlez de cela et personne ne vous croit » Mais le fait est, c’était
un holographe et c’était de l’imagerie de synthèse et …
KERRY CASSIDY : D’accord,
pouvez-vous nous éclairer là-dessus ? Dites-nous pourquoi vous pensez que
c’est la vérité. Vous êtes pilote, vous savez certainement si ces avions
avaient la capacité de heurter ces bâtiments, parce que notre Henry Deacon nous
a aussi raconté des choses intéressantes sur ces avions. En fait, il croit
qu’ils étaient pilotés à distance. Je ne sais pas si CELA est vrai, mais au
fond ces avions n’ont pas la capacité de se diriger vers ces bâtiments à ce niveau,
je ne suis pas pilote et je ne comprends pas la logistique. Mais, comment
êtes-vous arrivé à cette conclusion ?
JOHN LEAR : Les vols
11 et 77 n’existaient pas pour commencer. Le Bureau des Statistiques de
Transport n’a aucune trace d’eux au décollage, pas trace, vous savez, alors
oublions-les parce qu’ils n’existaient pas.
Donc nous ne parlons que du vol
175 et du vol 93. Le vol 93 s’est apparemment écrasé à Shanksville. Quiconque
ayant une expérience quelconque des enquêtes d’accident ou pas d’expérience du
tout, ne peut croire qu’un avion se soit écrasé là. Il n’y avait pas de débris.
Cela ne pouvait pas avoir eu lieu.
En ce qui concerne le vol 175
s’écrasant dans la Tour sud, j’ai récemment passé un appel à un simulateur de
vol de Pan American à Miami pour voir si je pouvais louer un (Boeing) 767-200,
car ils en ont un. Et ce que je voudrais faire c’est de sélectionner six
candidats, six candidats pilotes. Un habitué et qualifié sur le 767-200 ;
un peut-être qualifié mais pas habitué ; et puis un peut-être habitué aux
jets à grande vitesse, mais pas au 767 ; et puis trois derniers, du même
calibre que les présumés pirates de l’air, du genre qui a quelques heures de
vol sur un Apache, qui a une licence de vol privée, ou peut-être commerciale,
quelque chose comme cela.
Et ce que je ferais dans le
simulateur, je les emmènerais à New YorKerry Cassidy telle qu’elle est. Je veux
dire les bâtiments sont là. Je les emmènerais là et les maintiendrais en
position stationnaire à 32
kilomètres de distance, à une altitude de 2100 mètres, à une
vitesse de 900 km/h,
je les mettrais dans le siège du pilote et leur donnerais deux minutes pour se
repérer, leur montrerais où se trouve le Word Trade Center, et leur dirais :
« je vais vous abandonner là et lorsque je m’en irais, vous aurez une
minute et cinquante secondes pour vous écraser en plein milieu. Maintenant, le
World Trade Center mesure 66
mètres de large, et vous devrez le heurter au centre.
Pas à gauche, ni à droite – au centre. » Et pour expliquer comment cela se
passe, je pointerais une caméra sur le pilote et une autre vers ce qu’il
regarde.
Et puis je dirais (il claque des
doigts) « VAS-Y ». Et je dirais « Bon, maintenant montre-moi
combien c’est facile ». Vous savez, à cause de tous les gars de l’ATS
(Contrôle du trafic aérien, Ndt) « Oh, j’ai fait tout cela en simulateur
de vol, pas de problème », vous savez. C’est impossible. Au sommet de ma carrière, aussi compétent que j’aie été
sur tout type d’appareil, il n’y avait pas moyen pour moi de faire cela. Je
veux dire, c’est juste trop compliqué.
Premièrement, l’avion ne peut pas
voler plus vite que 900 km/h.
Il ne peut voler à plus 580
km/h qui est la vitesse maximale opérationnelle.
Peut-être pourrait-il voler, disons, cinquante à soixante kilomètres par heure
plus vite que cela, mais à la VMO l’avertisseur se déclenche. L’avertisseur est
un dispositif de sécurité requis par la FAA (Autorité Fédérale de l’Aviation,
Ndt) qui émet un claquement SONORE : clac-clac-clac,
clac-clac-clac. Et il émet ce claquement à un rythme et selon un cycle qui
irrite le pilote, si bien qu’il ne peut pas l’ignorer. Il doit ralentir, vous
savez. Maintenant, il n’est pas possible qu’un pirate de l’air, qui est pour la
première fois dans l’avion, non seulement vole à 620, 640 km/h …et descende et
s’écrase en plein centre. Pas possible. Non.
BILL RYAN : Nous avons
un témoin crédible, qui dit que les avions n’avaient pas de pilote, mais qu’ils
étaient pilotés à distance, comme des drones à des milliers de kilomètres de
distance.
Je demande à John de faire un
commentaire à ce sujet, de son point de vue, cela répond aussi à la question
posée par le fait qu’aucun pilote humain n’aurait pu atteindre un objectif
aussi petit.
JOHN LEAR : Aucun
avion ne s’est écrasé dans le World Trade Center. Premièrement, contrôler à
distance un appareil de cette taille ou de n’importe
quelle taille est très difficile. Je ne crois pas que vous puissiez piloter
à distance un appareil de la taille d’un 767-200 de toute façon, et
particulièrement pour heurter en plein centre le World Trade Center. Mais le
fait est qu’il n’y avait pas de débris d’un QUELCONQUE appareil dans le World
Trade Center.
Et par « pas de débris »
je veux dire qu’on n’a rien trouvé de quelque taille que ce soit dans le
secteur. Maintenant, il y a un panneau de fuselage que vous apercevez avec cinq
ombres de hublots, mais quand chaque avion, American Airlines dans la Tour nord
et United Airlines dans la Tour sud, s’écrase, il y a deux cinquièmes de
seconde où on les voit disparaître dans l’avion. Donc, en deux-cinquièmes de
seconde, vous n’aurez pas un panneau de deux
mètres de long qui va se détacher et atterrir dans un état presque intact, à
moins qu’il ne soit accompagné du passeport de Mohammed Atta.
La seule autre pièce qui a été trouvée
était le moteur sur Murray Street. Et le moteur sur Murray Street a été
identifié soit comme CFM-56 – CFM pour Snecma – OU un CF-6, qui était un moteur
de 767, développé à partir du CFM-56. Mais qu’il se soit agi d’un CF-6 ou d’un
CFM-56, il devait avoir une base General Electric et malheureusement, ou
heureusement, United Airlines n’utilise que du Pratt and Whitney. Donc
ce moteur que vous voyez s’envoler et dont on vous affirme qu’il provient du
vol 175, ne provient pas du 175, parce que les gars qui étaient chargés de
déposer le moteur à cet endroit, vous savez, comme un débris fumant et
carbonisé, ont déposé le mauvais moteur. Il y
a un tas de choses que les auteurs ont fait qui sont suspectes ici. L’effondrement
du bâtiment numéro sept est absolument ridicule.
Et la raison pour laquelle ils devaient le faire ainsi est parce que,
je présume, le projecteur holographique qui a projeté le vol 175 et le vol 11, a mal fonctionné – parce
que le vol 93 était celui qui devait s’écraser dans le bâtiment sept et
lorsqu’ils qu’ils n’ont pas réussi à le faire, ils ont dû faire les choses
rapidement. Ils pouvaient simuler un crash du vol 93 à Shanksville et je peux
m’imaginer ces gars, toute la journée, se demandant « Qu’est-ce qu’on va
faire ? »
Personne n’allait croire que ce truc allait juste
s’effondrer, vous savez, à cause d’un
petit incendie, et vers 5 heures, vous savez, ils se sont dit bon, on y va et on va le faire, peut-être
que personne ne va s’en apercevoir. Donc ils ont fait s’effondrer le
bâtiment de quarante-sept étages sur sa base, et se sont attendus à ce que tout
le monde les croie – et bien sûr c’est ce qui s’est passé.
KERRY CASSIDY : D’accord,
donc ils l’ont fait s’effondrer sur sa base … mais qu’ont-ils
utilisé ? Est-ce qu’ils n’ont pas
d’armement scalaire ? Peuvent-ils juste le descendre ?
JOHN LEAR : Oui, nous
en disposons mais dans ce cas particulier l’effondrement a été causé par une
démolition contrôlée tout comme le World Trade Center.
Au World Trade Center, ce qu’ils
ont fait avec la démolition contrôlée est la PREMIERE partie qui consistait en
ce que nous appelons la découpe de Wile
E. Coyote (le vil coyote du dessin animé des Bip-bip, Ndt) dans la figure,
comme si un avion s’était écrasé dedans, ce qui est absolument, incroyablement
ridicule – mais un tas de gens l’ont cru. Et
l’autre chose est qu’ils avaient besoin d’une démolition contrôlée pour
découper chaque poutre en tranches de 9 mètres, afin qu’elles tiennent dans les
camions de Rudy Giuliani qui allaient les transporter hors de la ville.
Le World Trade Center a été
effondré par une arme à faisceau d’énergie dirigée, à partir d’une des
plateformes spatiales armées, et la raison pour laquelle nous le savons est la
taille des poussières issues de la désintégration du béton. Elle était
approximativement de 80 microns, et c’est ce que produit une arme à faisceau
dirigé lorsqu’elle est pointée vers le bas. C’est ce qui est utilisé, on
l’appelle « dissociation moléculaire ». Je veux dire, c’est juste une
dissociation de la structure moléculaire du béton et c’est pourquoi il y avait
toute cette poussière. Il ne restait rien.
Et c’est pourquoi le sous-sol du
World Trade Center était en fusion pendant six semaines, parce que, quand il
(le faisceau)atteint finalement le sol, il le chauffe à ce point. Vous pouvez
déverser autant d’eau que vous voulez, cela ne va pas se refroidir pendant un
bon moment. Donc, je crois que tout cela était contrôlé par le E-4B, l’appareil
du Jugement dernier, le 747 qu’on a vu survoler la Maison Blanche.
Je pense qu’il y eu celui qui a
fait la projection holographique, et ils ont aussi transmis les CGI (Computer
Graphics Imagery – Imagerie numérique informatisée, Ndt), les images numériques
réalisées par ordinateur, aux différentes chaînes de télévision, pour montrer
les avions qui apparemment s’écrasaient. C’est pourquoi il y a eu cet incident
avec un nez d’avion qui a dépassé de l’autre côté d’un des, d’un des bâtiments.
Ce sont eux qui ont envoyé ces pseudos messages par téléphones portables, qui
n’ont jamais existé. Ils ont fait tout un tas de choses. Ils ont probablement
simulé des transpondeurs pour les appels des différents ATC (Contrôles du
trafic aérien, Ndt).
KERRY CASSIDY : Donc
vous dites que l’hologramme devait provenir d’un avion en vol ?
JOHN LEAR : Oui. Cela
a été réalisé par un projecteur. Un projecteur holographique.
KERRY CASSIDY : D’accord,
donc, la technologie existe bien. Avez-vous parlé à votre ami, qui a écrit le
livre …
JOHN LEAR : Norm
Bergrun.
KERRY CASSIDY : Norm,
mais qui d’autre avez-vous entendu parler de cette technologie
holographique ?
JOHN LEAR : Ron
Blackburn … vous savez qui c’est ?
JOHN LEAR : Ron
Blackburn a travaillé pour Lockheed pendant 30 ans. Il a participé au programme
des avions furtifs, le projet de programme furtif à Groom Lake (Zone 51 au
Nevada, Ndt) pendant 20 ans. C’était lui qui a pour la première fois entendu
dire qu’il y avait des aliènes sur le site d’essais. Maintenant, quand je l’ai
rencontré pour la première fois il y a 10, 15 ans, il a nié savoir quoi que ce
soit, maintenant il est un peu plus relâché dans ce qu’il dit. Je veux dire
qu’il affirmait qu’à Groom Lake il y avait un bâtiment administratif qui était
réservé aux aliènes. Ron a participé à ma fête d’anniversaire ici.
Il est retraité maintenant, il est
retraité. Il est très prudent dans ce qu’il dit. Mais il est
venu à ma fête d’anniversaire, et il nous a parlé des projections
holographiques. Il dit qu’elles comportent le son, la lumière, la chaleur,
tout. Je veux dire que tout est là. Une des personnes, un des problèmes que
rencontrent les gens avec les projections holographiques … Eh bien, je l’ai vu, cela aurait été impossible. Vous savez, du
genre, ils pensent aux projections holographiques comme à celles que vous voyez
à Las Vegas ou à une fête d’anniversaire, vous savez.
Quand il y a une petite lumière
dansante comme là-bas.
« Eh bien, je l’ai vu, cela
aurait été impossible». Vous savez que c’est ridicule. Et puis ils disent
« Bien, comment auraient-ils pu produire le son, ils auraient dû avoir des
enceintes acoustiques du haut en bas, vous savez, de la rue. » C’est
malheureux que les gens ne comprennent pas à quel point nous avons évolué dans
notre technologie. Ils ont été dupés, c’était une tromperie. C’était une
opération psychologique.
KERRY CASSIDY : D’accord,
alors qui l’a menée ?
JOHN LEAR : A la base,
je les appelle les « Vilains nazis de la NASA », au centre du
complexe militaro-industriel. Hoagland dit exactement qui ils sont et comment
ils ont pris le pouvoir, et ce sont ceux qui ont mené l’opération. Maintenant,
le 31 mars 2007, l’année dernière, un gars nommé Morgan Reynolds a déposé une
plainte appelée la Plainte Qui Tam, contre ces 22 sociétés. Et nous parlons ici
d’entreprises de premier plan. Science Applications, International Corporation,
Applied Research, Hugues – toutes ces sociétés-là sont mises en accusation, et
elles sont accusées d’avoir accepté de l’argent pour fournir des informations
frauduleuses à une agence gouvernementale.
L’agence gouvernementale à qui ils
ont fourni cette information frauduleuse est le NIST – l’Institut National des
Normes Technologiques. Le NIST a été chargé par le Président Bush de déterminer
exactement pourquoi le World Trade Center s’est effondré. Ce qui a réellement causé son effondrement. Et ils ont avancé la
raison que, vous savez, le carburant des avions et c’était tellement ridicule
que Morgan a déposé cette plainte qui fait QUARANTE PAGES et qui souligne tout
ce qui s’est mal passé. Et c’est ainsi que la plainte a abouti au tribunal
aujourd’hui.
KERRY CASSIDY : Et
vous avez témoigné sur les avions holographiques comme partie de la plainte,
exact ?
JOHN LEAR : Eh bien ce
que j’ai fait, c’est que j’ai fait une déclaration écrite sous serment le 28
janvier 2008, cette année, en soutien de la Plainte et en opposition à la
Demande de Rejet. Et au fond, ce dont j’ai témoigné est :
-
pourquoi les avions ne
pouvaient avoir volé aussi vite qu’ils l’avaient fait
-
POURQUOI ils
n’auraient pu voler aussi précisément qu’ils l’avaient fait,
-
Pourquoi il n’y avait
pas de débris.
KERRY CASSIDY : Il est
étonnant que d’autres pilotes ne se soient pas manifestés
JOHN LEAR : Eh bien,
d’autres pilotes sont des employés ; ils ne peuvent pas se permettre de se
manifester.
KERRY CASSIDY : Mais
c’est de notre PAYS dont nous parlons …
JOHN LEAR : Ils ne
peuvent le faire. Une bonne partie de mes informations émanent de Aerodynamics for Naval Aviators
(Aérodynamique pour Pilotes de la Marine, Ndt)(il montre le manuel) et
j’explique POURQUOI un avion de ligne ne peut pas voler à 800 km/h à 300 mètres d’altitude.
Cela a à voir avec la traînée, avec la puissance, et le fait qu’ils utilisent
des réacteurs à double flux. C’est juste impossible. Donc peu importe que le
gouvernement ou le NIST affirment qu’ils volaient à 800 km/h – ce n’était pas
le cas. C’était impossible.
Donc au fond, c’est ce que j’ai
expliqué dans ma plainte. Maintenant, vous vous demandez pourquoi beaucoup de
pilotes ne se sont pas manifestés ? Beaucoup l’ont fait, il existe une
organisation appelée www.PilotsForTruth.com (Pilotes pour la Vérité)
dont je suis membre, un des premiers membres, et il y a un tas de gens qui
savent que cela n’aurait pas pu se produire. Il n’y avait aucun avion qui ressemble
à un Boeing 757 qui se soit écrasé dans le Pentagone. Non, cela n’est pas
arrivé.
KERRY CASSIDY : Alors
qu’est-ce qui s’est passé au Pentagone ?
JOHN LEAR : Au
Pentagone, ils ont fait exploser une bombe pour faire ce trou et ils ont
utilisé un baril de 200
litres de carburant qu’un gars a allumé pour créer toute
cette fumée noire là-bas.
KERRY CASSIDY : Je
pense que l’histoire d’April Gallup est fascinante à ce sujet.
JOHN LEAR : April
Gallup était une spécialiste de l’armée, et j’ai oublié quelle était sa
fonction, mais elle avait un certificat de sécurité Top Secret. Elle était
assise à environ 12 mètres
de l’endroit où l’explosion a créé un trou béant dans la façade du Pentagone et
elle avait son fils de six mois sous son bureau et elle pensait que c’était
bizarre parce que, habituellement, lorsqu’elle se rendait au travail, avant de
passer le contrôle de sécurité, elle devait déposer les petits enfants dans une
crèche, mais ce jour-là, la sécurité lui dit : « Non, prenez
l’enfant avec vous ».
Donc il était avec elle – elle
avait l’enfant juste sous elle dans un petit couffin, et elle dit que c’était
vraiment étrange parce que lorsqu’elle a
pressé le bouton « ON » de son ordinateur, c’est alors que le
bâtiment a explosé, et elle dit qu’un tas de
débris lui sont tombés dessus et elle a vu le trou là-bas et elle a
pensé : « Je dois sortir d’ici ». Alors elle a pris l’enfant sur
son dos, s’est dirigée vers l’ouverture, est passée à travers pour se retrouver
sur la pelouse où, finalement on a établi le centre de tri.
Mais elle a dit qu’elle n’avait vu
ni missile, ni avion, qu’elle n’avait pas senti d’odeur de carburant. Il n’y
avait pas d’avion là-dedans. Et plus tard à l’hôpital elle a été interrogée par
les Renseignements de l’Armée et ils lui ont demandé ce qu’elle avait vu, et
elle a commencé par dire « Je n’ai rien vu » et ils lui ont dit
« Non, bien sûr que vous avez vu quelque chose. Vous avez vu un Boeing 757
s’écraser à l’intérieur ». Elle dit « Non, non, non, ce n’est pas
vrai. Il n’y avait rien là. » Et elle a traversé l’enfer pendant les
quatre ou cinq dernières années pour obtenir des soins médicaux.
Cela a été une bien triste
histoire. Mais, une des choses que je voulais montrer est une page d’un manuel
militaire traitant d’un truc dont ils aimeraient disposer en l’an 2025. Cela
s’appelle un projecteur holographique aérien, vous pouvez voir où je l’ai eu.
Vous ne pouvez plus l’avoir ici, c’était sur www.au.af.mil
et j’ai récupéré environ 250 pages de documentation …
KERRY CASSIDY : Cela
parle d’une machine à hologrammes.
BILL RYAN : Cela se
réfère à la gestion de la perception de l’ennemi,
n’est-ce pas ? C’est un si merveilleux euphémisme.
JOHN LEAR : « Le projecteur holographique projette une image
visuelle tridimensionnelle vers un endroit ciblé, distant d’un générateur
d’image. Le projecteur peut être utilisé pour des opérations psychologiques et
la gestion de la perception stratégique. Il peut également servir pour des illusions
d’optique, et le camouflage, en fournissant une diversion momentanée dans un
engagement avec un adversaire peu évolué. Et il dispose de capacités de
projection précise d’images visuelles tridimensionnelles dans une zone
sélectionnée. Il vient en soutien d’opérations psychologiques et de gestion de manipulation
stratégique et sert à la manipulation et la dissimulation dirigée contre des
centres optiques. »
KERRY CASSIDY : D’accord,
et quand cela a-t-il été écrit, vous le savez ?
JOHN LEAR : Je pense
que c’est en ’99. Je n’en suis pas sûr. Je vous donnerai l’adresse où vous
pouvez vous le procurer MAINTENANT.
Mais je pense que c’est à la base aérienne de
Maxwell.
KERRY CASSIDY : Il
faut croire que si c’est accessible au public, c’est juste la pointe de
l’iceberg en ce qui concerne la technologie.
JOHN LEAR : Si, et si
vous creusez cette matière, ils disposent de ce qu’ils appellent le système de
laser à haute énergie hybride (HELWEPA … High-Energy Laser Weapon Systems
Applications). Mais si vous fouillez la question et regardez ce système de
près, cela vous montre comment ils pourraient attaquer juste entre l’Iran et
l’Afghanistan. C’est hilarant, vous savez c’est là qu’ils veulent attaquer et
c’est là où ils savaient qu’ils allaient attaquer, vous savez, en 1999. Et cela,
cela a été publié à cette époque, alors vous pouvez voir combien ils planifient
leurs trucs à l’avance. Je veux dire qu’ils font des plans trente ans à
l’avance.
KERRY CASSIDY : Bon,
lorsque vous dites qu’ils vont attaquer entre l’Iran et …
JOHN LEAR : En Afghanistan.
C’est là où passera l’oléoduc, ils veulent cette région.
KERRY CASSIDY : Bon,
d’accord, donc c’est pour cela que nous allons entrer en guerre contre l’Iran,
c’est ce que vous dites. Oui, mas i l’Iran à la technologie Keshe.
JOHN LEAR : Ouais, nous
voulons nettoyer cette région pour y faire passer l’oléoduc.
KERRY CASSIDY : Il
semble que vous nous dites qu’ils vont utiliser une arme d’un type particulier
pour attaquer à cet endroit.
JOHN LEAR : Eh bien,
ils pourraient utiliser ce laser à haute énergie hybride, vous savez, ils ont
beaucoup d’armes qu’ils pourraient utiliser.